Clara Daquin travaille à Paris en tant que critique d’art et curatrice indépendante. Diplômée de l’ECAL, l’École cantonale d’Art de Lausanne en Arts Visuels et de la Sorbonne en Histoire de l’Art, elle a mené une recherche sur les duos et collectifs d’artistes et plus particulièrement sur le processus créatif à plusieurs mains. Diplômée du master en études curatoriales de l’Université Paris Sorbonne, elle réalise des expositions au sein du collectif Mathilde Expose depuis 2015. Elle a collaboré avec le Palais de Tokyo, Lafayette Anticipations – Fondation d’entreprise Galeries Lafayette, la galerie Semiose et l’association La Source. Elle écrit régulièrement pour la presse et collabore actuellement avec The Community, collectif et plateforme pluridisciplinaire située dans le 10e à Paris.
Diplômé de l’Université Paris–Sorbonne en Histoire de l’art, études visuelles et culturelles, Thomas Caillères consacre sa recherche de master aux interactions entre le jazz et les arts plastiques. Il réalise ensuite une formation professionnelle en commissariat d’exposition à la Sorbonne et co-fonde le collectif de curateurs Mathilde Expose, avec lequel il organise plusieurs expositions valorisant la création émergente. Il a contribué à la programmation audiovisuelle du musée national d’art moderne – Centre Pompidou, notamment pour l’exposition Beat Generation (2016). Passionné de contre-cultures et de culture populaire, il propose un regard transdisciplinaire à l’histoire de l’art. Plus récemment, il assiste l’artiste Angelika Markul dans ses projets d’expositions.
Ancienne étudiante de l’École normale supérieure de Lyon, Camille Richert est doctorante en histoire de l’art au Centre d’histoire de Sciences Po sous la direction de Laurence Bertrand Dorléac. Son travail de recherche porte sur la représentation du geste laborieux dans l’art contemporain, des années 1960 à nos jours. Parallèlement, elle développe depuis plusieurs années une activité d’éditrice d’art (Anticipations, co-édition JRP Ringier et Lafayette Anticipations, 2016, et 9 Plâtre, édité par Lafayette Anticipations, 2018). Elle est co-traductrice avec la philosophe Judith Wambacq du roman du poète néerlandais K. Schippers, De Bruid van Marcel Duchamp (La Mariée de Marcel Duchamp).
Diplômée en histoire de l’art de l’École du Louvre et de l’université Sorbonne Paris IV, Marine Benoit-Blain se spécialise en histoire de la photographie, se concentrant sur l’étude de la production photographique documentaire et militante. Elle consacre notamment un mémoire de recherche à la photographie féministe en Écosse dans les années 1980 et 1990, autour de l’œuvre de Franki Raffles. De 2016 à 2017, au sein de la Direction générale de la création artistique, elle participe au plan d’accompagnement de l’art urbain du ministère de la Culture, et s’intéresse aux relations entre politiques culturelles et cultures urbaines. Elle y coordonne la publication des actes du colloque État de l’art urbain, Oxymores III. En novembre 2017, elle rejoint l’École nationale supérieure d’architecture de Paris La Villette en tant que responsable de la vidéothèque et des collections vidéo.
Issue d’une formation en Lettres supérieures (Hypokhâgne-Khâgne), Louise Le Moan est diplômée d’un Master en Ingénierie culturelle et d’un Master en Études cinématographiques. Au cours de ses expériences professionnelles dans le domaine de la conception et de la production d’exposition, notamment au Palais de Tokyo où elle assiste les curateurs, elle collabore également avec des galeries et centres d’art dans la communication et l’édition. Elle consolide et développe une spécialisation dans l’exposition des arts visuels et de l’image en mouvement. Actuellement chargée de communication, des relations clients et assistante curatoriale pour Jeremy Maxwell Wintrebert, elle foule le territoire plein de richesse des métiers d’art et découvre avec enthousiasme la vie d’atelier.
À la suite d’une année aux Ateliers de Sèvres à Paris, Sarah Di Venosa intègre l’ECAL, l’École cantonale d’art de Lausanne dont elle sort diplômée en 2017 en design graphique. Elle développe depuis plusieurs années une pratique liée à l’objet imprimé et à l’édition. Elle expérimente de nombreux procédés d’impressions et de supports, notamment sur textile. Elle collabore à des objets proches du livre d’artiste mais aussi à des ouvrages plus classiques : catalogues d’expositions, documentation d’espaces, traitement de documents d’archives. En 2017, sa publication Pathos est éditée par la maison d’édition ARMES à Lausanne. Ce projet s’est ensuite développé sur différents supports textiles. Pour Alma Mater, Sarah Di Venosa expérimente le rapport entre image et texte et veille à la cohérence entre le sujet traité et son support visuel, sa documentation. Elle suit pas à pas la fabrication des éditions, accompagne les artistes et les aide à développer leur projet éditorial de la façon la plus juste.
Lévana Gautier a évolué trois ans au sein de CURATOR STUDIO — société développant des sites Internet, un logiciel de gestion et un module e-commerce pour les galeries d’art et les collectionneurs —, en tant que cheffe de projet web. Diplômée de l’Université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne en Philosophie de l’art et Gestion de projet culturel, son travail de mémoire a été consacré aux nouveaux paradigmes d’acquisitions des objets d’art, et plus particulièrement sur l’e-commerce de l’art.